Paulette Elise Augusta POURCELOTÂge : 88 ans1914–2003
- Nom
- Paulette Elise Augusta POURCELOT
- Prénom(s)
- Paulette Elise Augusta
- Nom de famille
- POURCELOT
Naissance | 14 août 1914 25 23 |
Décès du père | Auguste Alexandre Louis POURCELOT 8 décembre 1914 (Âge 3 mois) Adresse : 171e régiment d'infanterie Cause : Mort à la guerre, pendant son service, d'une fièvre Typhoïde |
Naissance d’une demi-sœur | Gilberte BAVEREZ 25 juillet 1921 (Âge 6 ans) |
Naissance d’une demi-sœur | Olga BAVEREZ 5 février 1923 (Âge 8 ans) |
Naissance d’un demi-frère | Marc BAVEREZ 6 avril 1925 (Âge 10 ans) |
Décès du grand-père maternel | Auguste JACQUET 1935 (Âge 20 ans) |
Décès de la grand-mère maternelle | Elise VOIRIN 1942 (Âge 27 ans) |
Décès de la grand-mère paternelle | Marie Louise HUMBERT 1943 (Âge 28 ans) |
Décès de la mère | Germaine Marie JACQUET 1976 (Âge 61 ans) |
Décès d’un époux/épouse | Roger Paul « Paul » GRANDJEAN-PERRENOUD 3 mai 1984 (Âge 69 ans) Cause : Rupture de coronaire (2e Infarctus) |
Description | Yeux Bleus |
Décès | 12 août 2003 (Âge 88 ans) Cause du décès : Pendant la canicule de 2003 |
Sépulture |
Famille avec les parents |
père |
Auguste Alexandre Louis POURCELOT Naissance : 25 juin 1889 29 28 — PASSONFONTAINE, Doubs, Franche Comté, France Décès : 8 décembre 1914 — NANCY, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France |
mère |
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elle |
Naissance : 14 août 1914 25 23 — GUYANS-DURNES, Doubs, Franche-Comté, France Décès : 12 août 2003 — ISSY LES MOULINEAUX, Hauts de Seine, Ile de France, France |
La famille de la mère avec Alphonse BAVEREZ |
beau-père |
Alphonse BAVEREZ Naissance : 1896 46 — CHASNANS, Doubs, Franche Comté, France Décès : 1959 — BESANÇON, Doubs, Franche Comté, France |
mère |
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demi-sœur |
Détails privés |
demi-sœur |
Gilberte BAVEREZ Naissance : 25 juillet 1921 25 30 Décès : septembre 2007 — BESANÇON, Doubs, Franche Comté, France |
18 mois demi-sœur |
Olga BAVEREZ Naissance : 5 février 1923 27 32 Décès : 17 octobre 2016 — BESANÇON, Doubs, Franche Comté, France |
2 ans demi-frère |
Marc BAVEREZ Naissance : 6 avril 1925 29 34 — VERCEL, Doubs, Franche Comté, France Décès : 2013 — BESANÇON, Doubs, Franche Comté, France |
demi-sœur |
Détails privés |
Famille avec Roger Paul « Paul » GRANDJEAN-PERRENOUD |
mari |
Naissance : 18 mars 1911 27 20 — DÔLE, Jura, Franche Comté, France Décès : 3 mai 1984 — FLEURY LA VALLÈE, Yonne, Bourgogne, France |
elle |
Naissance : 14 août 1914 25 23 — GUYANS-DURNES, Doubs, Franche-Comté, France Décès : 12 août 2003 — ISSY LES MOULINEAUX, Hauts de Seine, Ile de France, France |
fille |
Détails privés |
fille |
Détails privés |
fils |
Détails privés |
fille |
Détails privés |
fille |
Détails privés |
- Génération 1
Paulette Elise Augusta POURCELOT, fille de Auguste Alexandre Louis POURCELOT et Germaine Marie JACQUET, naquit le 14 août 1914 à GUYANS-DURNES, Doubs, Franche-Comté, France et morte le 12 août 2003 à ISSY LES MOULINEAUX, Hauts de Seine, Ile de France, France à l’âge de 88 ans.
Paulette Elise Augusta POURCELOT et Roger Paul « Paul » GRANDJEAN-PERRENOUD avaient 5 enfants.
- Génération 2Retour en haut de la pageLes détails de cette génération sont privés.
- Génération 3Retour en haut de la pageLes détails de cette génération sont privés.
Note | La Saga des Familles Porcelet/Pourcelot - De la Provence jusqu’à la Bourgogne. Le nom de famille Porcelet/Pourcelot est repéré en Bourgogne dès le XIIIe siècle notamment avec un certain « Hugues Le Porcellet », membre du Magistrat de la Cité de Besançon dans les années 1280, qui fît élever le fameux « Hôtel Porcelet » sis actuellement rue Pasteur. Les travaux de spécialistes des noms de famille (Anthroponymie) tels Dauzat, Carrez, Rabiet, Grammont et Souèges montrent que le patronyme Pourcelot actuellement très présent en Franche-Comté est un avatar du nom de famille Porcelet ; l’un et l’autre étant évidemment issu du sobriquet «porcelet ». L’Histoire confirme les liens existant entre les familles qui portent ce nom fort singulier (singularité conférant au patronyme ses qualités de repère identitaire). Les historiens tels Thuriet ou Gourdon de Genouillac ont pu noter que le patronyme Porcelet existant à Besançon dès le XIIIe siècle appartient au lignage aristocratique « Porcelet d’Arles » dit encore « de Maillanne » repéré en Provence à partir du XIe siècle. Dans le Comté de Bourgogne (future Franche-Comté) le patronyme Porcelet subira en quelque deux siècles les adaptations phoniques puis calligraphiques propres à cette province qui le conduiront à Porcelot puis à Pourcelot. Cf : « Un Patronyme singulier au Royaume de Bourgogne et d’Arles » Alain Pourcelot - Ed. Théles/Elzévir - Paris 2008 p. 25-65. Les Porcelet en Arles et en Provence : Grâce en particulier aux travaux du médiéviste et universitaire Martin Aurell concernant la noblesse provençale au Moyen Age, il est admis que le cognomen Porcellos ressortit à un clan familial présent dans le massif des Maures avant même le Xe siècle…Il s’agirait du valeureux Diego guerrier castillan fils du Comte Rodéric de Castille venu combattre en Provence les Sarrazins sous la bannière du Pape et de l’Église ; sa fougue comparable à celle d’un sanglier lui valut le surnom flatteur de “Porcellos” (= porc sauvage ou sanglier en provençal ancien) qu’il transmit à ses descendants. Cf : « Une famille de la Noblesse provençale au Moyen Age : les Porcelet » Martin Aurell - Ed. Archives du Sud, Aubanel - 1986. Dès le XIe siècle « les Porcellos » sont installés par le Comte de Provence dans un fief important : le Bourg-Vieux d’Arles (on parle alors volontiers du Bourg-Vieux des Porcellets). À partir de la Camargue qu’ils dominent totalement les « Porcelet d’Arles » conquièrent de nombreux fiefs dans la Vallée du Rhône et les Alpilles : Fos, Lambesc, Chateauvieux…Certains membres de la noble famille Porcelet (d’Arles puis de Maillanne) s’illustreront durant les Croisades sous la bannière de Raymond de Saint Gilles et se fixent dans le Comté de Tripoli où ils tiennent des fiefs pendant deux siècles jusqu’à la prise de Saint Jean d’Acre par les Mameloucks en 1291… Plusieurs personnages illustres appartenant aux Porcelet d’Arles jouent un rôle important auprès des Rois angevins de Sicile et Naples (XIIIe- XIVe siècle) notamment lors des Vêpres Siciliennes : règne de Charles 1er, frère du Roi de France Saint Louis. Cf : Alain Pourcelot Op. cité p. 192- 200. On trouve également une branche de la famille Porcelet (de Maillanne) présente en Lorraine à partir du XVe siècle avec par exemple le puissant Evêque-Comte de Toul Jean de Porcelet de Maillanne qui fonde la ville de Porcelette (Meurthe et Moselle) vers 1610. Il est admis que les notables portant le nom « Porcelet » présents à Besançon (Magistrat de la Cité impériale, Cogouverneurs, marchands, banquiers etc…) à partir de 1250 et pendant 200 ans sont issus de villes de Lombardie et de Compagnies marchandes installées dans la péninsule italienne (Venise, Gênes, Pise …) à la faveur du commerce avec l’Orient, au temps des Croisades. Les “lombards” Porcelet de Besançon descendent de Croisés de la famille Porcelet d’Arles installés au Levant où ils sont connus sous le nom de « Porcelet de Syrie » ou « de Terre Sainte » aux XIIe et XIIIe siècles. Pour le Comté de Bourgogne, le patronyme Porcelet a connu très tôt l’anoblissement : très précisément en 1313 avec le Co-gouverneur « Jean Porcelet » anobli par l’Empereur Henry VII à l’occasion de la réunion de la Diète d’Empire à Worms. Cf : Histoire de Besançon, Tome I - C.Fohlen, Ed. N.L.F., Paris, 1964. Les Porcelet/Pourcelot en Bourgogne (Duché et Comté) : La fin du XIVe siècle correspond au moment où la langue franco-provençale se substitue au latin dans la rédaction des Actes administratifs et privés dans le Comté de Bourgogne ; le nom de la famille « Porcelletti » va alors connaître de nombreuses variations et fantaisies calligraphiques conséquences d’une orthographe réputée flottante ! Les formes les plus classiques sont : Porcelet, Pourcelat, Pourceloiz, Porcelot et Pourcelot accompagnées ou non de la particule “le” ou “de ”. Dans la littérature on peut donc rencontrer « de Porcelet » ou « de Pourcelot » etc. Nous écrirons par convention Porcelet/Pourcelot pour les familles repérées aux XVe-XVIIe siècles en Bourgogne ; ce qui est conforme à l’analyse du spécialiste Jacques Souèges : « En Franche-Comté, les noms de famille Porcelet, Porcelot puis Pourcelot sont des avatars de l’illustre patronyme d’Hugo Porcelletti Co-gouverneur de Besançon en 1312… ». Cf : « Le Petit Atlas patronymique du Doubs » Jacques Souèges – Ed. Cêtre, Besançon 1980. Le nom de famille Porcelet/Pourcelot apparaît dès la fin du XIVème siècle dans la littérature historique concernant la Franche-Comté : il est cité dans l’entourage des maîtres de la Bourgogne, ce qui témoigne de sa notoriété.
Cette expédition va connaître un échec retentissant devant Nicopolis. Les Archives du royaume de Hongrie précisent que Jean le Pourcelot est au nombre des vingt-quatre chevaliers bourguignons faits prisonniers puis mis à rançons par le sultan. Il est rapporté qu’à la demande du Roi de Hongrie, Sigismond de Luxembourg, il aura une gratification de 200F de la part du Duc Jean Sans Peur en Novembre 1406. En 1412 Jean le Pourcelot recevra du Duc de Bourgogne le château de Thoraise qui domine une boucle du Doubs en aval de Besançon - (cf Constant Pourcelot, Bruxelles - Inédit).
On notera que ce Didier est présent dans les années 1418 dans l’entourage du Duc de Bourgogne Jean Sans Peur tout comme les écuyers Pourcelot mentionnés plus haut ! Cf : « de Cicon…à la Grâce-Dieu » - Alfred Bouveresse – Imp. Marcel Bon Vesoul, 1979. Il est admis par les historiens que tous ces personnages bien identifiés par la singularité du patronyme appartiennent à un même et seul lignage présent à Besançon dès le XIIIe siècle avec les riches lombards venus du monde des Croisades. Cf : « Les Cogouverneurs de la Cité de Besançon » Jean-Marie Thiébaud – Ed. CEGFC,1996. Les membres issus de l’ancienne famille aristocratique provençale sont reconnus grâce au cognomen-sobriquet Porcelet qui en Franche-Comté sera fixé dès le XVe siècle et aboutira au patronyme Porcelot/Pourcelot. Cf. : Alain Pourcelot Op. cité. Les Porcelot/Pourcelot à Passonfontaine (Doubs) et à Besançon du XVIe au XIXe siècle : Passonfontaine- bourg de la montagne du Doubs proche de la Suisse – est le berceau d’une famille de notables portant le nom Porcelot/Pourcelot que l’on peut suivre grâce à la pérennisation de son titre héréditaire « Bannelier de Cicon » durant la « période espagnole » de la Franche-Comté. Cette époque commence avec le prestigieux règne de l’Empereur romain-germanique Charles Quint qui administrait le Comté de Bourgogne hérité de Marie de Bourgogne, fille du Téméraire. Le clan familial Pourcelot est alors concentré à Passonfontaine ; les écrits mentionnent des agents seigneuriaux, des ecclésiastiques, des propriétaires fonciers et laboureurs, des maîtres d’usines, moulins et ateliers, des avocats voire des robins… La famille est intégrée aux élites comtoises ; elle possède un blason et noue des alliances matrimoniales flatteuses parmi les « gens d’état » voire les nobles « Montfaucon, Bouhelier, Vernerey ; elle participe à l’administration du Comté de Bourgogne (procureurs spéciaux, banneliers, greffiers, notaires, tabellions…) : elle compte de nombreux curés, abbés et moniales (Montbenoit, la Grâce-Dieu, Baume les Nonnes, Salins et Passonfontaine). Le patronyme est à cette époque très peu éclaté : les recensements de 1657 à la sortie de la calamiteuse « Guerre de Dix ans » font apparaître pour la communauté villageoise de Passonfontaine au moins “sept feux” dénommés Porcelot/Pourcelot alors qu’on n’en rencontre quasiment aucun ailleurs ! Cf. : F. Barthelet Op. cité et A. Pourcelot Op. cité p. 276 – 280. La famille Pourcelot issue des banneliers de Cicon s’est épanouie pendant deux siècles aux alentours du château de Cicon. Les généalogistes considèrent qu’à Passonfontaine tous les Pourcelot sont parents entre eux ; Alfred Bouveresse signale encore : « les Pourcelot étaient si nombreux à Passonfontaine qu’à une certaine époque on a pu compter jusqu’à douze “Louis” Pourcelot, ce qui nécessita le recours à des sobriquets ». Cf. : A. Bouveresse Op. cité. On comprend que certains notables de cette famille et en particulier les avocats au Parlement de Franche-Comté aient pris pour nom : « Pourcelot de Passonfontaine » jusqu’à la Révolution.
Après la tourmente révolutionnaire, l’Empire puis la Restauration seront plus favorables à quelques notables repérés dans la région de Saint-Hippolyte (Doubs) qui, pour les Pourcelot représente quasiment le second berceau familial à côté de Passonfontaine : aujourd’hui on peut admirer à Vauclusotte l’imposante et curieuse Chapelle funéraire des Pourcelot jouxtant l’église communautaire depuis le XVIIIe siècle. Portant le nom de Pourcelot on recense aux XVIIIe - XIXe siècles des officiers, des avocats, des médecins et même un vétérinaire ! Signalons plus spécialement le curé Antoine Pourcelot (1757-1828) titulaire de la cure de Maîche (capitale de la Franche-Montagne) à partir de 1802 ; il a sa pierre tombale à l’intérieur de l’église. Mentionnons encore Marcel Pourcelot (1759-1829), adjoint du Comte de Scey Préfet du Doubs qui termina sa carrière comme Sous-Préfet de Gex (Ain). Nous terminerons avec le Dr Pierre Philippe François Pourcelot (1764-1836) qui fut nommé Conseiller Général Inamovible du département du Doubs de 1795 à 1829. Parmi ses seize enfants : Pierre Charles Philippe (1792-1860) sera élu Conseiller Général de Saint-Hippolyte ; une de ses petites-filles Félicie épousera Charles Borne Député puis Sénateur du Doubs et son petit-fils Charles Pourcelot sera médecin à Besançon jusqu’en 1871. Cf. : F. Barthelet Op. cité et A. Pourcelot Op. cité. |
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