Blason Perrenodz de la Sagne

Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSEÂge : 68 ans14401508

Nom
Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE
Naissance 1440 25
Note : Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle)
Naissance d’un fils
#1
Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD

Naissance d’un frèreJehannin PERRENODZ (PERRENOUD)
vers 1440
Naissance d’un fils
#2
Pierre PERRENOD
vers 1460 (Âge 20 ans)
Naissance d’un fils
#3
Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE
vers 1470 (Âge 30 ans)
Note : Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle)
Naissance d’un fils
#4
Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE
vers 1485 (Âge 45 ans)
Note : Date et lieu probables supposés.
Naissance d’un petit-fils
#1
Guillaume PERRENOD
vers 1500 (Âge 60 ans)
Décès d’un frèreJehannin PERRENODZ (PERRENOUD)
avant 1508 (à la date du décès)

Profession
Paysan

Décès avant 1508 (Âge 68 ans)
Famille avec les parents - Afficher cette famille
père
mère
lui
1 an
frère jumeau
Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE + … … - Afficher cette famille
lui
fils
fils
fils
11 ans
fils

  1. Génération 1
    1. Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE

      Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, paysan, fils de Villemin Pierre PERRENODZ (PERRENOUD) et Henriette ???, naquit en 1440 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort avant 1508 à CIRCA, -, Neuchâtel, Suisse.

      Enfants de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE:

      1. Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE (14851537)
      2. Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD (1554)
      3. Pierre PERRENOD (1460)
      4. Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE (14701540)
    1. Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, naquit vers 1485 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort après 1537.

      Enfants de Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE et PERRENON:

      1. Claude PÉTER CONTESSE
      2. Pierre PÉTER CONTESSE
      3. Blaise PÉTER CONTESSE (1515)
    2. Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE. Il est décédé avant 1554.

      Enfants de Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD et ?? ??:

      1. Jehan PERRENOD
    3. Pierre PERRENOD, forgeron, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, naquit vers 1460 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse.

      Enfants de Pierre PERRENOD et Agnes VUILLE:

      1. Pierre PERRENOD
      2. Guillaume PERRENOD (15001553)
    4. Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE

      Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE, conseiller de Commune, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, naquit vers 1470 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort après 1540.

    1. Pierre PÉTER CONTESSE, fils de Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE et PERRENON.

      Pierre PÉTER CONTESSE avait 1 enfant.

    2. Blaise PÉTER CONTESSE, fils de Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE et PERRENON, naquit vers 1515 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse.

    3. Jehan PERRENOD, fils de Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD et ?? ??.

      Jehan PERRENOD avait 1 enfant.

    4. Guillaume PERRENOD, homme Censier, fils de Pierre PERRENOD et Agnes VUILLE, naquit vers 1500 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort avant 1553.

      Enfants de Guillaume PERRENOD et N:

      1. Blaise PERRENOD
      2. Antoine PERRENOD
      3. Andrey PERRENOD (15331602)
      4. Othernin PERRENOD (1537)
    5. Pierre GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE

      Pierre GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, fils de Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE et Jeanne OTHENIN. Il est décédé avant 19 février 1554. Il a épousé Jehanette ROBERT, fille de Pierre ROBERT et Claire JEHANFAVRE, le 26 août 1540.

    6. Claude PERRENOUD ALIAS COMTESSE, fils de Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE et Jeanne OTHENIN. Il a épousé Jehanne ROBERT, fille de Pierre ROBERT et Claire JEHANFAVRE.

      Claude PERRENOUD ALIAS COMTESSE et Jehanne ROBERT avaient 1 enfant.

    7. Blaise GRANDJEHAN PERRENOUD ALIAS COMTESSE, fils de Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE et Jeanne OTHENIN.

      Blaise GRANDJEHAN PERRENOUD ALIAS COMTESSE avait 1 enfant.

    8. Jehan GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, fils de Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE et Jeanne OTHENIN.

      Jehan GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE avait 2 enfants.

    9. Guillaume GRAND JEHAN COMTESSE, fils de Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE et Jeanne OTHENIN. Il est décédé avant 19 février 1554. Il a épousé Catherine PERRENOUD, fille de Détails privés, le 10 décembre 1544.

      Enfants de Guillaume GRAND JEHAN COMTESSE et Catherine PERRENOUD:

      1. Guillamet COMTESSE
Naissance

Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle)

Note

Jean et son frére Jeannin Perrenoud, à La Sagne ?[Comme aux Glottes]?, étaient aussi appelés Perrenoud-Comtesse, sans doute à cause de leur mère, il en est résulté que la descendance d'un fils de Jeannin n'est plus connue aujourd'hui qu e sous le nom de Comtesse. L'autre frère eut deux fils, appelés tous deux Jean. L'un, peut-être à cause de sa taille ou parce qu'il était l'aîné, était qualifié Grand Jean Perrenoud-Comtesse. Cette expression s'est conservée dans la famille issue du prénommé. Relevons, toutefois, que dans l'usage courant on se contente de dire Grandjean. Le second Jean, le cadet sans doute, a laissé une descendance que l'on a peine à reconnaître sous le nom de Péter-Comtesse. Enfîn, une troisième branche de la famille a compté au XVIe siècle un personnage surnommé Grand Guillaume. Il n'en fallut pas davantage ?(ce sobriquet ayant été conservé)?, pour détacher de la famille Perrenoud un nouveau rameau, les Grand-Guillaume-Perrenoud. Ses membres sont connus sous le nom de Perrenoud.

Deux autres branches de la famille, conclut léon Montandon, sont désignés sous les noms de Perrenoud-André et Perrenoud le Favre.

Perrenodz Jehan Paysan, cité aux Glottes le 24 juin 1493; peut-être fils de Pierre, né à La Sagne; déjà mentionné avec Jehannin, son frère, en 1463 lorsqu'ils paient un cens d'avoine; le 17 mai 1473, "il reprit de Monseigneur, en Martel, 14 faulx de joux, chaque faulx payant 4 deniers pors cens et 20 florins d'entraige". Père de Pierre Selon arbre généalogique de Jacques GPC Suisse, Orthographié "Jehan Perrenod alias Contesse" Cité 1460 - 1495 16/02/1465, obtient avec son frère ?(Jehannin)? 23 faux en Martel "Perrenoud, Perrenod, Pernod : famille de La Sagne ?(Neuchâtel)? connue dè le XVe siècle, dont une branche détachée aux Ponts-de-Martel dans le même siècle a donné naissance à plusiers familles: Comtesse, Grandjean-Perrenoud-Comtesse ?(connue sous le nom de Grandjean)?, Grand-Guillaume-Perrenoud ?(connue sous le nom de Perrenoud)? et Péter-Comtesse. ?(...)? Une branche, fixée à Couvet, s'est fait connaître, sous le nom de Pernod, dans la fabrication de l'adsinthe dès la fin du XVIIIesiècle."

Jehan Perrenodz ?(également connu comme Jean Perrenod alias Comtesse)?, fondateur de la famille, qui vivait à La Sagne au début des années 1400. Selon Quartiers Perrenoud des Borel de Couvet : "de la Sagne où il vit à Marmoud"

Note

CHANCELIER DE MONTMOLLIN.

LA S A G N E XIVe SIECLE.

Aspect du pays. - Premiers habitants. - Premières franchises. - Charte de 1372. - Vie intérieure

Connue je ne vois plus personne en ce pays , qui prenne plaisir à connaître les choses du vieux temps, et que bientôt on n'en saura ..lot, il m'a semblé convenable de rédiger en ce présent écrit les diverses recherches et observations faites par quelques-uns de nos anciens , intelligents et sages , auxquelles recherches je joins les a ariennes propres afin que le tout demeure ensemble en un coin , et puisse quelque jour servir à ceux de nos après-venants qui auront la louable curiosité de prendre connaissance de leur patrie et de l'enchaînure des causes qui l'ont amenée en l'état oie nous la voyons maintenant; curiosité certes non assez commune chez nous, car c'est chose digne de pitié presqu'en tous pays , et surtout en celui-ci, de voir tant de gens assez instruits de l'histoire grecque on romaine et très-ignares au regard de leur nation, singulièrement de la contrée qu'ils habitent.

Avant le XIVe siècle, La Sagne n'est mentionnée dans aucun acte. Enfermée entre deux chaînes des montagnes noires, des neiri jours, comme les appelait le comte Berthold en 1240, en parlant de ses terres et de celles tenues par ses prédécesseurs, elle devait être alors singulièrement à l'écart et isolée, bien oubliée, bien peu connue. De nos jours, on n'y trouve nuls restes des âges celtiques, rien de la période romaine et des invasions barbares; l'époque de la féodalité même et du servage y laissent fort peu de souvenirs; et ce n'est que lorsque les peuples commencent à respirer, à reconquérir leurs droits, qu'on voit apparaître à La Sagne quelques habitants venus on ne sait d'où.

Les premiers qui en foulèrent le sol ne durent pas en faire une peinture bien riante. En effet, aucun point de vue; les yeux ne rencontrent que les sapins et le ciel. L'aspect du pays est sévère et les teintes monotones; on se sent pris d'un sentiment de tristesse, de regret, en descendant du Jura dans cet. enfoncement profond. Le sol non accidenté, peu varié, devait alors, plus que de nos jours, être imprégné d'eau, profondément marécageux. Son nom l'indique d'ailleurs : Sagne, terrain coupé de canaux, terrain saigné (en patois La Seignie ).Pendant bien longtemps, des chasseurs entraînés par les plaisirs de la poursuite à l'ours ou aux bêtes fauves, la parcoururent seuls , bravant les inconvénients et les dangers deces terrains.

Qu'on se représente le premier pionnier arrivant dans la vallée: quel affreux. chaos! Sur les pentes et rejoignant les forêts décrépites des monts, des taillis de sapins, de bouleaux entremêlés d'un fouillis d'arbrisseaux. Ce ne sont point des arbres qui s'élèvent droits et sveltes: les sapins étendent leurs branches à fleur de terre et forment un massif auquel on craint de donner un nom, un vrai fagot d'où sort une pointe hésitante qui porte quelques pives; les rameaux touchant la terre s'y implantent , y pompent la sève, poussent de nouveaux jets et semblent délaisser le tronc nourricier. Dans les bas-fonds, des marécages impraticables, le marais avec ses terrains trompeurs. Çà et là, semés dans les éclaircies,des bouleaux à l'écorce argentée recréeraient, l'oeil, si une bourre, mélange indescriptible de ronces enchevêtrées, de lianes, suspendues, enroulées aux arbres, de fougères et de végétaux en décomposition , ne couvrait le sol. La bruyͨre aux hampes roses occupe les crêts dépourvus d'arbres, avec les myrtilles qui brillent aussi rouges que les fraises sur la mousse. C'est de ce côté qu'il essaie de diriger ses pas.

Au travers de ces fourrés si épais , le sanglier seul s'est hasardé à se frayer un passage. Le colon, la hache à la main, suit le sentier tracé par ces hôtes farouches des solitudes; inquiet, il écoute le croassement lugubre du corbeau quia pris son vol de la Roche-des-Cros, et plane sur la vallée pour y découvrir une proie, un levraut peut-être ou une taupe accomplissant sa silencieuse besogne. L'eau qui l'entoure de tous côtés, non l'eau avec son murmure rieur, avec un vert cresson ou des pissenlits sur ses bords, mais une eau stagnante où s'agitent des milliers de grenouilles, une eau morte mêlée aux terrains, l'effraie. La rosée ne brille qu'à demi dans ces ombres froides, le murmure du vent même parmi les feuilles, semble sombre et comme l'écho de l'inquiétude.

Il ne sait s'il doit s'aventurer dans cet effrayant labyrinthe; rien de semblable ne s'est encore offert à ses yeux. Appuyé contre un arbre, il songe... et une vision vient dérouler ses riants tableaux devant lui. Il voit les eaux canalisées, couler au côté de riches prairies, où le sainfoin, le trèfle et l'esparcette élèvent leurs tiges à l'envi; il les voit faisant tourner la roue d'une scierie où disparaîtront ces troncs centenaires. Le bruit des vents ne lui rappelle plus que les ailes de moulins huchés au sommet des collines , qui répéteront leur joyeux tictac aux rochers d'alentours. Les bruyères, les roseaux seront relégués dans les lieux inabordables, et les tuyaux des avoines , des orges et des blés, s'élèveront sur cette terre vierge. Au lieu du cri des bêtes sauvages, retentiront dans les combes et sur les pâturages de la joux noire, les mugissements des troupeaux; et le moineau , l'hirondelle ne laisseront pas inhabités les toits du laboureur. L'oiseau chanteur ne craindra plus la serre des oiseaux de proie, et viendra redire cent refrains à ses oreilles.

Plein d'ardeur à ces images de la vie du paysan, il lève la hache, et ces solitudes étonnées envoient jusque dans leurs plus lointaines profondeurs l'écho de ce bruit inconnu...

Les premiers habitants qui vinrent peupler notre vallée, y arrivèrent poussés par les douceurs d'une vie retirée et tranquille et par l'amour de la liberté. Montmollin rapporte qu'en 1309, une petite colonie vaudoise vint se fixer è La Sagneet y commença de nombreux défrichements; d'autres ont parlé de Genevois et de Savoyards. Les motifs de cette émigration sont inconnus; mais dans ces temps d'agitations, de guerres, les causes ne devaient point manquer. Sans doute qu'ils ne vécurent pas isolés de tout contact, et que plusieurs colons, sujets des seigneurs de Valangin ou de Neuchâtel, imitant l'exemple de Jehan Droz du Locle, y arrivèrent. Les Tissot, les Cosandier, partirent évidemment du Val-de-Ruz... http://www.rmvuille.ch/genealogie/cadre_menu_genealogie.htm

Objet médiaBlason PerrenodzBlason Perrenodz
Format : image/jpeg
Dimensions de l’image : 174 × 175 pixels
Taille du fichier : 30 Ko
Image principale : aucun
Objet médiaBlason Perrenodz de la SagneBlason Perrenodz de la Sagne
Format : image/jpeg
Dimensions de l’image : 171 × 297 pixels
Taille du fichier : 85 Ko
Image principale : oui
Objet médiaFrance et Suisse en 1453France et Suisse en 1453
Format : image/jpeg
Dimensions de l’image : 721 × 600 pixels
Taille du fichier : 178 Ko
Image principale : aucun