Naissance | vers 1415 Note : Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle) Villemin Perrenodz est l'ancêtre le plus ancien, des Branches Perrenoud, actuellement recensé. |
Profession | Meunier 1438 (Âge 23 ans) |
Naissance d’un fils #1 | Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE 1440 (Âge 25 ans) Note : Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle)
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Naissance d’un fils #2 | Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD) vers 1440 (Âge 25 ans) |
Naissance d’un petit-fils #1 | Pierre PERRENOD vers 1460 (Âge 45 ans) |
Naissance d’un petit-fils #2 | Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE vers 1470 (Âge 55 ans) Note : Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle)
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Naissance d’un petit-fils #3 | Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE vers 1485 (Âge 70 ans) Note : Date et lieu probables supposés.
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Naissance d’un petit-fils #4 | Guillaume CONTESSE avant 1489 (Âge 74 ans) |
Naissance d’un petit-fils #5 | Jehan PERRENODZ (PERRENOUD) après 1489 (Âge 74 ans) |
Naissance d’un petit-fils #6 | Estévenin PERRENODZ ALIAS COMTESSE après 1489 (Âge 74 ans) |
Décès d’un fils | Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE avant 1508 (Âge 93 ans) |
Décès d’un fils | Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD) avant 1508 (Âge 93 ans) |
Décès | oui |
Famille avec Henriette ??? |
lui |
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épouse |
Henriette ??? Naissance : Décès : |
fils |
Naissance : 1440 25 — LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : avant 1508 — CIRCA, -, Neuchâtel, Suisse |
1 an fils |
Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD) Naissance : vers 1440 25 — LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : avant 1508 |
- Génération 1
Villemin Pierre PERRENODZ (PERRENOUD), meunier (en 1438), naquit vers 1415 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse.
Enfants de Villemin Pierre PERRENODZ (PERRENOUD) et Henriette ???:
- Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE (1440–1508)
- Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD) (1440–1508)
- Génération 2Retour en haut de la page
Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, paysan, fils de Villemin Pierre PERRENODZ (PERRENOUD) et Henriette ???, naquit en 1440 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort avant 1508 à CIRCA, -, Neuchâtel, Suisse.
Enfants de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE:
- Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE (1485–1537)
- Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD (–1554)
- Pierre PERRENOD (1460–)
- Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE (1470–1540)
Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD), fils de Villemin Pierre PERRENODZ (PERRENOUD) et Henriette ???, naquit vers 1440 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort avant 1508.
Enfants de Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD):
- Génération 3Retour en haut de la page
Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, naquit vers 1485 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort après 1537.
Enfants de Jehan Peter PERRENOD ALIAS COMTESSE et … PERRENON:
Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE. Il est décédé avant 1554.
Enfants de Guillaume « Grand Guillaume » PERRENOD et ?? ??:
Pierre PERRENOD, forgeron, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, naquit vers 1460 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse.
Enfants de Pierre PERRENOD et Agnes VUILLE:
- Pierre PERRENOD
- Guillaume PERRENOD (1500–1553)
Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE, conseiller de Commune, fils de Jehan PERRENODZ ALIAS COMTESSE, naquit vers 1470 à LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse et mort après 1540.
Enfants de Grandjehan PERRENOD ALIAS CONTESSE et Jeanne OTHENIN:
Claude PERRENODZ (PERRENOUD), fils de Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD).
Claude PERRENODZ (PERRENOUD) avait 3 enfants.
Guillaume CONTESSE, fils de Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD), naquit avant 1489 et mort après 1559.
Enfants de Guillaume CONTESSE et Catherine PERRENOUD:
- Jacques CONTESSE (–1562)
- Jehan CONTESSE
- Damian CONTESSE (–1596)
Estévenin PERRENODZ ALIAS COMTESSE, fils de Jehannin PERRENODZ (PERRENOUD), naquit après 1489.
Enfants de Estévenin PERRENODZ ALIAS COMTESSE:
Naissance | Comté de Neuchâtel (partie intégrante du Royaume de Bourgogne jusqu'à la fin du XVIe siècle) Villemin Perrenodz est l'ancêtre le plus ancien, des Branches Perrenoud, actuellement recensé. |
Note | Quant à l'étymologie du patronyme PERRENOUD ou PERNOD, elle renvoie au prénom Pierre dont elle constitue un hypocoristique, c'est à dire un diminutif familier. Par le nom de baptême Petrus, du latin "petra", la pierre, la roche, ce prénom est issu du grec "petros", dans la même acception. Perrenoud - Anciennement Pernod, Perrenod. Dérivé neuchâtelois de Perrin, ancienne forme du prénom Pierre (latin Petrus, de petra, la pierre). Nombreuses branches: Perrenoud-dit-Martel, Perrenoud-André, Grandguillaume-Perrenoud ou Grand-Guillaume-Perrenoud, Grandjean-Perrenoud-Comtesse. Les Pernod qui ont exporté la fabrication d?absinthe du Val-de-Travers dans le Jura français descendent des Perrenoud, de même que les Perrenod émigrés au Etats-Unis. Autres formes: Pernot, Pernoud, Pernoux, Pernaux |
Note | Les Grandjean sont issus de la très ancienne famille des Perrenoud-Comtesse, déjà citée à La sagne dès 1437. A cette date vivait dans cette localité un Villemin Perrenoud, dont la femme s'appelait Henriette, et qui eurent 2 fils : Othenin et Jean. Celui qui est à l'origine de la souche du présent tableau, ascendait (???) avec son frère, qui s'appelait Jean comme lui, du Comte Rot. de Hochberg,une terre d'environ 50 poses de la Joux de Martel. Les 2 fils de Jehan Perrenoud que l'on nomme bientôt pour les distinguer, l'un Jean Peter qui deviendra la souche des Peter-Comtesse actuels, et l'autre qui était sans doute de grande taille Grand Jean. C'est celui qui nous intéresse. Ces frères, Jean Peter et Grand Jean, habitaient leur maison de Marmond à La Sagne. Plus tard, la famille se disloqua. Les uns s'en vont aux Ponts de Martel, où leurs descendants se maintiennent jusque sous la moitié du 17ème siècle. Vers 1680, plusieurs fils d'Abraham, arrières-petits-fils de Grand jean sont fixés aux Verrières et forment la branche du Val de Travers. Par contre, Moÿse, fils d'Abraham, va s'établir vers 1712 à La Brévine. Il est cité comme gouverneur de cettecommune ainsi que son fils. Il est reçu Bourgeois de Valangin. C'est sa descendance qui aboutit aux ramifications du présent tableau, par Simon qui emigra à La Chaux de Fonds et s'y établit au milieu du 18ème siècle comme horloger établisseur. |
Note | Le Locle et les montagnes neuchâteloises Quoique les montagnes du canton de Neuchâtel soient situées à environ 1000m au-dessus du niveau de la mer, le plupart de ses villes et villages sont dans des vallées peu profondes, tel que l'indique le mot "Chaux" ("haute vallée " en patois local) dans plusieurs noms de lieux. Les villages de La Sagne et Les Ponts-de-Martel sont situés dans une vallée autrefois marécageuse et riche en tourbières, "sagne" et "martel" signifient tout deux marécages. Le nom "Le Locle" provient quand à lui du mot celtique "loch" ou lac, Car la vallée où la ville est située a été occupé par de l'eau. Ces vallées sont entourées de montagnes couverte de sapins qui donnèrent à la région son ancien nom patois "Les Noires Joux". Le haut du canton de Neuchâtel n'a pas été colonisé aussi tôt que le littoral (plus accessible). Le Locle est mentionné pour la première fois dans un obituaire de 1151, qui parle d'un don fait par Renaud de Valangin et son fils Guillaume au monastère récemment fondé de Fontaine-André à La Coudre. Ce geste apparemment pieux servait probablement un double but, car les seigneurs de Valangin étaient évidemment anxieux d'encourager la colonisation d'une région frontière largement déserte. Sous l'impulsion des moines, les terres ont été défrichées, et des familles colonisèrent graduellement la région. Au 13ème siècle, les seigneurs de Valangin rachetèrent leurs droits sur la région, et mirent en place un programme de colonisation plus actif, en offrant des avantages sociaux au pionniers et colons. En 1372, Jean d'Aarberg signe une chartre libérant les habitants du Locle et de La Sagne, les proclamant "franc-habergeants" ou hommes libres, avec le droit de disposer de leurs propre terres. Au cours du siècle suivants, plus de droits furent acquis (généralement contre payement), à un tel point que, en 1480, la région était connue comme "Le Clos de la franchise". A partir de 1502, les hommes libres du Locle et de La Sagne peuvent même obtenir le titre socialement désirable de "bourgeois" de Valangin. A la fin du 14ème siècle, 31 hommes adultes tenaient des terres sous le seigneur de Valangin à La Sagne, et 28 au Locle. En 1416/17, il y avait 50 feux dans la paroisse formée par les deux villages, et en 1531, ce chiffre a augmenté à 268 feux, y compris 145 pour Le Locle seul. Les statistiques de l'époque montrent que cette explosion démographique n'est pas résultat d'une immigration, mais d'un taux de naissance particulièrement élevé. A la fin du 15ème siècle, Le Locle et La Sagne étaient assez grand pour former deux paroisses séparées. Les Brenets devint une paroisse en 1512, et La Chaux-de-Fonds en 1550, quoiqu'une chapelle y existait déjà en 1528. La Réformation a Í©té amenée dans le canton de Neuchâtel par le prédicateur français Guillaume Farel en 1530, mais, au début, la nouvelle doctrine a rencontré la résistance farouche des autorités ecclésiastiques et séculaires du Locle et de La Sagne. Pourtant, sous la pression populaire des croyants sincères et de tout ceux qui voyaient une occasion de se débarrasser des lourds impôts imposés par l'église catholique, la Réformation a été acceptée paisiblement en 1536. Pendant bien des années, les villages des montagnes neuchâteloises étaient purement agricoles, mais la croissance démographique a peu à peu forcé les habitants à chercher des sources de revenus alternatives. Meuniers, charpentiers, forgerons et d'autres artisans apparaissent aux côtés des fermiers autosuffisants. La force naturelle des rivières Le Doubs et Le Bied est domestiquée et utilisée comme outil de travail. En 1584, Marie de Bourbon achète les droits de Valangin, et les montagnes neuchâteloises passent sous le contrôle de la maison d'Orléans-Longueville, où elles resteront pendant plus d'un siècle. Comme la Franche-Comté voisine était au mains de l'Espagne, la région a souffert des tensions existant entre ces deux puissances, particulièrement pendant la guerre des Trente Ans lorsque les alliés suédois de la France occupèrent la vallée de Morteau. Le calme est revenu avec la paix de Westphalie en 1684. Au 17ème siècle, Le Locle était encore la localité la plus importante des montagnes neuchâteloises avec environ 2'300 habitants. C'est une période de développement économique pour la région. De nouvelles industries sont amenées par les réfugiés français après la révocation de l'Édit de Nantes en 1685, surtout l'art des dentelles, qui fournissait un revenu supplémentaire bienvenu aux familles paysannes. L'horlogerie encore à ses débuts, suite à son installation par Daniel Jeanrichard au Locle en 1705, deviendra bientôt une force majeure, avec des personnalités telles que Jacques-Frédéric Houriet (1743-1830), Sylvain Mairet (1805-1890) et Frédéric-William Dubois (1811-1869). |
Note | Le village de la Sagne, situé dans la seigneurie de Valangin est connu dès le XIVème siècle. Il se trouvait sur la route de Neuchâtel en Franche-Comté par Le Locle. Des conditions spéciales furent accordées aux Colons qui vinrent défricher la Vallée. En 1363, Jean d'Arberg, Seigneur de Valangin, octroie diverses franchises aux habitants du Locle et de La Sagne, dans des limites données. D'autres franchises sont accordées aux francs-habergeants du Locle et de La Sagne en 1372 et le territoire sur lequel elles s'exerçaient prit le nom de "Clos de la Franchise", en fait les Montagnes neuchâteloises. Durant les guerres de Bourgogne en 1476, les gens du Locle et de La Sagne se placèrent sous la protection de Berne. La Sagneforma une mairie dès le XIVème siècle jusqu'en 1848; elle engloba de 1616 à 1656 une partie du territoire de La Chaux-de-Fonds. La plupart des familles de La Sagne acquirent, à partir de 1502, la bourgeoisie de Valangin. Elles se signalèrentpar leur loyalisme vis-à-vis de l'ancien régime, notamment en 1831. Le mouvement royaliste de septembre 1856 partit de La Sagne. Une chapelle Sainte-Catherine est mentionnée en 1351; elle dépendit du Locle jusqu'en 1499, époque où fut érigée la Paroisse. L'Eglise actuelle a été construite en 1526, sur un autre emplacement que la chapelle. Elle a donné naissance au hameau de Sagne-Eglise. |
Note | Site officiel de la Commune de la Sagne : http://lasagne.ne.ch/ |
Objet média | Format : image/jpeg Dimensions de l’image : 714 × 339 pixels Taille du fichier : 52 Ko Image principale : oui Note : Le fief des Grandjean-Perrenoud-Comtesse et Compagnie ;) L'église de la Sagne a été construite en 1526 |
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