Cécile Elisabeth HOURIETÂge : 72 ans18911964

Nom
Cécile Elisabeth HOURIET
Prénom(s)
Cécile Elisabeth
Nom de famille
HOURIET
Nom après mariage
Cécile Elisabeth HOFER

Cilette OFAIRE

Nom
Cilette OFAIRE
Prénom(s)
Cilette
Nom de famille
OFAIRE
Note : Nom d'écrivain.
Naissance 13 janvier 189115H00 36 27
Décès de la mèreAdèle Emma HÜNN
21 février 189420H45 (Âge 3 ans)
Cause : Tubercules pulmonaires, Cl. V n°33
Enterrement de la mèreAdèle Emma HÜNN
24 février 1894 (Âge 3 ans)
Mariage d’un parentCharles Auguste HOURIETEugénie Mathilde HÜNNAfficher cette famille
3 août 1898 (Âge 7 ans)

Naissance d’une demi-sœurEsther Emma HOURIET
8 mai 1899 (Âge 8 ans)

Décès de la grand-mère paternelleRose Sophie DUBIED
27 octobre 1899 (Âge 8 ans)

Décès d’une demi-sœurEsther Emma HOURIET
17 janvier 1901 (Âge 10 ans)

MariageCharles HOFERAfficher cette famille
6 juin 1914 (Âge 23 ans)

Profession
Ecrivain

Décès 1964 (Âge 72 ans)

Famille avec les parents - Afficher cette famille
père
mère
Mariage : 10 avril 1890COUVET, -, Neuchâtel, Suisse
9 mois
elle
La famille du père avec Eugénie Mathilde HÜNN - Afficher cette famille
père
belle-mère
Mariage : 3 août 1898
9 mois
demi-sœur
Famille avec Charles HOFER - Afficher cette famille
mari
elle
Mariage : 6 juin 1914

  1. Génération 1
    1. Cécile Elisabeth HOURIET, ecrivain, fille de Charles Auguste HOURIET et Adèle Emma HÜNN, naquit le 13 janvier 1891 à COUVET, -, Neuchâtel, Suisse et morte en 1964 à l’âge de 72 ans. Elle a épousé Charles HOFER le 6 juin 1914. Il naquit le 26 juin 1887.

Nom

Nom d'écrivain.

Note

De son vrai nom Cécile Hofer-Houriet, Cilette Ofaire est née à Couvet (Val-de-Travers, Neuchâtel) en 1891 et décédée à Sanary-sur-Mer (Var, France) en 1964. Après des études à Neuchâtel et Bâle, elle séjourne à Paris où elle essaie de vivre de sa peinture avec son mari, Charles Hofer, peintre également. Après la Première Guerre, où Charles s'est engagé et dont il est revenu détruit moralement, le couple décide d'acheter une péniche, le San Luca, et de suivre les canaux, de Hambourg à la Méditerranée, périple que l'écrivaine raconte dans son premier livre, Le San Luca . Puis, séparée de son mari, et ayant dû renoncer à la peinture pour une atteinte au nerf optique, Cilette Ofaire frète un voilier, L'Ismé, et navigue des côtes anglaises à Ibiza, où la guerre d'Espagne la rattrape. Son bateau est coulé et elle est rapatriée en France, d'abord à Toulon, puis à Sanary où elle vivra, parfois très pauvrement, jusqu'à sa mort, en se consacrant à son jardin, à ses amis et à l'écriture. Des sept livres qui composent les ouvres complètes de Cilette Ofaire, deux sont les récits de ses voyages, les autres sont des romans à la facture étonnamment moderne pour l'époque, et très proches dans leurs thèmes et leurs paysages de la vie de leur auteure.

Note

Bibliographie - Le San Luca , Paris, Stock, 1934; rééd. Arles/Lausanne, Actes Sud/L'Aire, 1990 - Sylvie Velsey , Paris, Stock, 1938 - éditions Plaisir de lire, 2007 - L'Ismé , Lausanne, La Guilde du Livre; rééd. Arles/Lausanne, Actes Sud/L'Aire, 1990 - Chemins , Paris, Stock, 1945 - L'Étoile et le Poisson , Lausanne, La Guilde du Livre, 1949 - Un jour quelconque , Paris, Stock, 1956 - éditions Plaisir de lire, 2007 - La Place ou les rigueurs d'Adèle , Paris, Julliard, 1961